Quelques faits:
Nom : | Daniel Sanz |
Taille : | 180 cm |
Date de naissance : | 12/08/1991 |
Lieu de naissance : | Espagne |
Lieu de résidence : | Madrid/Espagne |
Sports : | Cyclisme sur route |
Plus grands succès : | |
Participation à certains événements |
Coureur espagnol et amoureux du cyclisme.
Daniel Sanz est un cycliste espagnol très enthousiaste qui aime emmener son vélo de route avec nos roues à frein sur jante MEILENSTEIN OBERMAYER autour du monde ! Daniel est connu pour ses photos grandioses et à couper le souffle avec des vues spectaculaires sur les montagnes. Nous avons hâte de voir ses futurs projets !
Quelques faits:
Nom : | Daniel Sanz |
Taille : | 180 cm |
Date de naissance : | 12/08/1991 |
Lieu de naissance : | Espagne |
Lieu de résidence : | Madrid/Espagne |
Sports : | Cyclisme sur route |
Plus grands succès : | |
Participation à certains événements |
Il fait désormais partie de notre famille et nous sommes fiers de présenter une brève interview avec lui en juillet 2022 :
Comment as-tu découvert Lightweight ?
Daniel Sanz : « Quand je regardais Lance Armstrong à la télé pendant le Tour de France et que j’ai vu qu’il les utilisait dans certaines étapes de montagne. »
Qu’est-ce qui t’attire chez Lightweight ?
Daniel Sanz : « Le poids plume, la construction en une pièce des roues et, bien sûr, le design. »
Quelle a été votre première impression des roues Lightweight ? Quel était le ressenti en roulant avec ?
Daniel Sanz : « La facilité avec laquelle elles roulent sur la route, la réactivité qu’elles ont. Le mieux est de les essayer, vous remarquerez quelque chose que vous n’avez jamais remarqué auparavant avec d’autres roues. »
Quelles roues Lightweight utilises-tu en ce moment ?
Daniel Sanz : « Lightweight MEILENSTEIN OBERMAYER »
Quels sont tes prochains objectifs et projets majeurs pour 2022/2023 avec Lightweight ?
Daniel Sanz : « Continuer d’aller à autant d’événements que possible et de grimper de nouvelles montagnes dans le monde entier. »
Quelle est votre citation favorite ?
Daniel Sanz : « Se freni non vinci. »